La liberté dans le comas

Discussion sur l’Informatisation du Monde avec David Gaborieau et Nicolas Eyguesier. Ven 7 fév à 19h. Entrée libre.

Rencontre-discussion sur les conséquences de l’informatisation du monde avec David Gaborieau, auteur de l’article « le logiciel qui murmure à l’oreille des prolos » et Nicolas Eyguesier des éditions La lenteur, autour des livres « La liberté dans le comas » (Groupe MARCUSE) et « Le monde en pièces, pour une critique de la gestion : informatiser ».

La liberté dans le comas

Ce livre s’interroge sur les conséquences de l’informatisation du monde et de la traçabilité systématique de nos faits et gestes? Il nous aide à réfléchir aux moyens de s’opposer au fichage généralisé. La Liberté dans le coma est le deuxième ouvrage du groupe Marcuse (Mouvement autonome de réflexion critique à l’usage des survivants de l’économie),

« Le monde en pièces, pour une critique de la gestion : informatiser ».

Par une collection de textes basés sur des cas précis d’informatisation (l’apiculture, la vocation d’informaticien, la commande vocale dans les entrepôts de la grande distribution), cet ouvrage montre que la numérisation détruit ce qui peut être encore sauvé dans les différents métiers, intensifie le travail, isole les individu et robotise les rapports sociaux.

Loin d’être un processus neutre, ou une solution aux problèmes sociaux de notre époque, l’informatique répond à des intérêts bien précis. Cela peut et doit être stoppé : c’est ce que nous enseigne notamment l’opposition aux compteurs Linky.

Arpentage

Atelier d’Arpentage du livre « Critiques de l’école numérique » Mer 5 fév à 17h15.

Ca y est ! Les ateliers du Mercredi repartent de plus belle, pour en finir avec le froid et la pluie, viens te réchauffer à la librairie. Pour cette première, et dans le cadre de notre mois consacré au Numérique et à son impact sur nos vies, il s’agira d’un Atelier d’Arpentage à partir du livre « Critiques de l’école numérique » paru aux éditions l’Echappée dont les réflexions pourront étayer la discussion autour de ce livre, en présence de deux personnes y ayant contribué, le soir du Vendredi 28 Février.

C’est quoi l’arpentage?
Comment lire des textes qui semblent à première vue compliqués, voir même inaccessibles pour des non-initiés ? Comment y découvrir des contenus pertinents en ne les coupant pas de leur contexte,
mettre au jour les idées exprimées, en tenter des analyses critiques, en discuter et en tirer des ressources…C’est le défi de l’arpentage : en s’attaquant collectivement aux ouvrages les plus difficiles et en les
enrichissant avec notre propre expérience. Ainsi ensemble, il est possible de co-construire un savoir utile pour comprendre les situations que nous vivons, l’évolution de nos métiers …
L’arpentage est donc une technique d’analyse collective d’un ouvrage, de texte, de bouquins…

D’où ça vient ?
Méthode de lecture collective issue de la culture ouvrière (cercle ouvrier) dès la fin du 19ème siècle puis réutilisée par les praticiens de l’entrainement mental pendant la seconde guerre mondiale par des
résistants (autour de Dumazedier), diffusée plus largement par Peuple et Culture, mouvement d’éducation populaire, à partir des années 1950.

source : miramap.org/IMG/pdf/l_arpentage.pdf

La Supplication

Lecture-spectacle. Interprétation du texte « La Supplication » de Svetlana Alexievitch. Ven 31 jan à 19h Entrée Libre.

Svetlana Alexievitch est prix Nobel de littérature 2015 . Elle fait entendre ici la parole des survivants de Tchernobyl . Ce sont ces voix qui seront lues par un lecteur et un trompettiste, Yves Thouvenel et François Drapier. Il ne s’agit pas de calculs concernant les coûts de l’énergie nucléaire mais des conséquences intimes et quotidiennes de cette catastrophe écologique majeure dans les corps et les âmes des habitants de cette région .

Entrée libre, une participation est la bienvenue pour contribuer à l’organisation de la soirée

Bonne année 2020 !

Les livres de Quartier Libre sont vivants et bouillonnent d’idées !

L’affiche est un outil de communication privilégié par les associations et les collectifs qui portent des initiatives. Elle ne demande pas d’avoir une formation professionnelle pour s’amuser avec les codes visuels et les éléments graphiques. Même si c’est un support prévu pour un affichage sur des murs, beaucoup d’affiches sont diffusées par mail et sur les réseaux sociaux.
Le projet de stop-motion partait d’une interrogation autour de ces images diffusées. Les images numériques n’ont pas les mêmes contraintes que les images imprimées sur papier. Alors nous avons créé une image animée avec des éléments extraits d’une affiche pour la présentation du livre Antifa. Ensuite nous avons créé une image pour la revue « De Tout Bois » pour explorer une autre forme de présentation de la nouveauté dans les rayons de la librairie. L’idée d’un rond noir qui se déplace dans le contenu de la publication faisait penser à une sorte d’exploration. Les images prises une par une pouvaient être publiées séparément, assemblées pour faire des images GIF et aussi en vidéo, en donnant la possibilité de monter un film d’animation.
« Boiling Books Show » est un peu le résultat de ces réflexions. Les prises de vues ont été faites pendant l’été 2019 à Quartier Libre avec participation de Lea, Katharina, Oskar, Laetitia, Elisa, Laura et Thomas.

Le nucléaire c’est fini

Rencontre avec La Parisienne Libérée à l’Ancienne école de la MJC 3 Maisons. Jeu 16 jan 2020 à 19h

 

Rencontre avec La Parisienne Libérée à l’Ancienne école de la MJC 3 Maisons autour du livre « Le nucléaire c’est fini »  Jeu 16 jan 2020 à 19h

Alors que les géants du secteur font faillite les uns après les autres, l’industrie nucléaire est désormais directement menacée par d’innombrables tempêtes, inondations, sécheresses et canicules, toujours plus brutales. Manifestement, le climat a choisi son camp : il est antinucléaire. Mais pouvons-nous compter sur la dégradation des conditions financières et climatiques pour mettre fin à une production qui reste étroitement liée à des enjeux politiques et militaires ?

Toute l’industrie atomique s’est édifiée sur les solides fondations d’un silence nucléaire qui a recouvert jusqu’à la mémoire des oppositions –comme en témoigne l’histoire, largement méconnue en France, de la lutte basque contre la centrale de Lemoiz.

Mêlant enquête et récits, ce livre déroule le fil de notre condition nucléaire et appelle à un déconfinement radical. Plus qu’un diagnostic, c’est le signal d’une rupture: le nucléaire, c’est fini !

Entrée libre, une participation est la bienvenue pour assurer le bon déroulement de la soirée.

Bakounine

Discussion – rencontre autour du livre « Théorie générale de la révolution »
de Bakounine. En présence du traducteur Etienne Lesourd. Ven 6 déc à 19h Entrée libre.

 

Discussion – rencontre autour du livre « Théorie générale de la révolution »
de Bakounine. En présence du traducteur Etienne Lesourd. Ven 6 déc à 19h Entrée libre.

Révolutionnaire obstiné, conspirateur d’instinct, orateur infatigable, Michel Bakounine avait souvent mieux à faire que de composer des traités. D’où, parfois, le caractère décousu de ses textes, écrits à la diable – ce qu’on pardonnera à un athée tel que lui. Pourtant, ils ne méritent pas l’oubli dans lequel ils sont tombés.

Pour réhabiliter son œuvre écrite, Etienne Lesourd, s’inspirant de la compilation qu’avait faite l’anarchiste russe G. P. Maximov en anglais dans les années 1950, a restitué les textes dans leur français originel – puisque, on ne le sait pas toujours, « le géant moscovite » écrivait le plus souvent dans cette langue.

L’ensemble constitue un exposé systématique de ses idées sur le matérialisme, l’État, le capital, les coopératives, la question nationale et, bien sûr, le socialisme libertaire, seul capable à ses yeux de contrer les menaces dictatoriales qu’il discernait dans le marxisme, et cela malgré l’estime dans laquelle il tenait les travaux de l’auteur du Capital.

Pied-à-terre

Discussion – rencontre autour de la revue « Jef Klak ». Jeu 28 nov à 19h Entrée libre.

Venez à la rencontre du collectif de critique sociale et d’expériences littéraires « Jef Klak » pour la présentation de leur 6e numéro fraîchement paru, « Pied-à-terre ».
Discussion – rencontre autour de la revue « Jef Klak ». Jeu 28 nov à 19h Entrée libre.
Dans ce numéro, il est tour à tour question de collectif, de logement, de touristification mais aussi d’une grève de femmes dans un campement de paysannes et de paysans sans terre, au Brésil.
ÉDITO : Une pièce collective en trois mots et autant de mouvements

ARRIVER

Quand tu manges une glace sur la rambla de Barcelone et que tu vois un graffiti « Tourists go home ».
Quand, évangélisateur en herbe à peine débarqué sur une île, tu te fais cribler de flèches.

On met pied à terre et le voyage prend fin. Le contact avec ce territoire, à découvrir ou à spolier, signe le début d’autre chose : une conquête, une prise de repères, un nouveau départ ou un massacre. Jamais tout à fait immobile, ni parvenu·e, on est toujours, et pour longtemps encore, en train d’arriver. Avec une question en tête : dans quoi ai-je mis les pieds ?

SE POSER

Quand tu déclares la grève illimitée de la popote au beau milieu d’une autre lutte vitale.
Quand ton collectif envisage, pour le prochain numéro de sa revue, de ne pas faire de numéro du tout.

On arrête tout et on réfléchit. Parce qu’on ne sait plus vraiment ce qu’on fait, qu’on aimerait pouvoir s’extraire un temps, se retourner et observer. Mais c’est un leurre, rien ne s’arrête jamais. On fait pause, et c’est déjà la suite qui se prépare. Alors, si ce répit n’en est pas un, comment connaître, transmettre et transformer un fonctionnement collectif ?

REVENIR

Quand tu trouves refuge, chez un⋅e ami⋅e ou un⋅e inconnu⋅e.
Quand tu as le sentiment de renaître chaque fois que tu reviens dans les Cévennes.

Le pied-à-terre, c’est le chez-soi qui peut être précaire, le quotidien sous le régime de l’intermittence. Un point fixe dans la tourmente, un repaire pour reprendre des forces, une retraite pour mieux repartir, un lieu où l’on sait que l’on pourrait revenir. Comment se l’approprier, quand on ne peut que périodiquement l’habiter ?

 

La conjuration des égo

Discussion – rencontre autour du livre « La conjuration des égo – Féminisme et individualisme »
En présence de l’autrice Aude Vidal. Ven 15 nov à 19. Entrée libre.

Discussion – rencontre autour du livre « La conjuration des égo – Féminisme et individualisme »
En présence de l’autrice Aude Vidal. Ven 15 nov à 19. Entrée libre.
Et si l’individualisme et le libéralisme, qui déterminent si fortement nos manières de considérer le monde, façonnaient aussi les mouvements politiques engagés pour la justice sociale et l’émancipation? Aude Vidal interroge les nouveaux féminismes radicaux. Le renouveau que connaît aujourd’hui le mouvement semble également le déborder sur ses marges : prostitution, inclusion des femmes trans et des personnes non-binaires, difficile articulation avec les pensées queer et décoloniales sont l’occasion d’autant de frottements/conflits.
Ringard et étriqué, le féminisme hérité de la deuxième vague ? Ou bien le foisonnement des féminismes d’aujourd’hui ne serait-il pas l’occasion de dérives libérales ?
L’auto-définition/identification et la reconnaissance d’un troisième genre, non-binaire, ne nieraient-elles pas le genre comme rapport sociaux de sexe, en faisant une caractéristique individuelle ?
Le féminisme du choix, en postulant que tous les choix effectués librement par des femmes sont des choix féministes, n’est-il pas devenu le point de rencontre entre féministes libérales et nouvelles féministes radicales ?

Comment accueillir ces questions qui renouvellent le féminisme, souvent de manière stimulante ou salutaire, sans rien céder sur la défense des femmes et de leur intégrité ?

Après une pause estivale, c’est reparti pour un tour à Quartier libre !

Cette année, l’équipe rempile avec les mêmes horaires que l’année dernière:

jeudis – vendredis entre 18h et 20h
samedis de 15h à 19h

Ces horaires sont a minima, pour permettre des permanences régulières.
En fonction des disponibilités des un.e.s et des autres, il est possible que la librairie soit ouverte un peu avant 18h et certains autres jours.
N’hésitez pas à passer !

Par ailleurs, pour faciliter l’envoi de notre programmation, nous expérimentons un nouveau système de newsletter qui vous permet de gérer votre abonnement à la liste en permettant le désabonnement à tout moment.

A bientôt !

Habiter en lutte

Discussion – rencontre autour du livre en présence d’un membre du collectif COMM’UN. Sam 29 juin à 18h

Discussion – rencontre autour du livre « Habiter en lutte, ZAD Notre-Dame-Des-Landes, 40 ans de résistance » En présence d’un membre du collectif COMM’UN. Sam 29 juin à 18h

La zad de Notre-Dame-des-Landes est devenue le plus grand squat à ciel ouvert d’Europe. Utopie réalisée pour certain·es, espace de rencontres et critique en acte du capitalisme, elle n’a pas fini de soulever les passions.Réunissant de nombreux récits, photographies, croquis et cartes inédites, ce livre raconte l’évolution d’un territoire où ce geste simple, habiter, est inséparable de celui de lutter.

Entrée libre

Fréhel

Présentation du roman graphique « Fréhel » en présence de l’auteur. Suivi d’chant acoustique « Marguerite, fleur de pavé ». ven 22 mar 2019 à 20h. Entrée libre

Présentation du roman graphique « Fréhel » en présence de l’auteur. Suivi d’chant acoustique « Marguerite, fleur de pavé ». ven 22 mar 2019 à 20h. Entrée libre

 

20h- Présentation du roman graphique (Edition Nada)
en présence de l’auteur
20h30 – Petite restauration végane par Las Vegan Resto – prix libre
21h- Tour de chant acoustique « Marguerite, fleur de pavé »
par la cie Max Ollier

La BD :

Pionnière de la chanson réaliste et figure incontournable de la Belle Époque et des Années folles, Marguerite Boulc’h, dite Fréhel, a marqué de son empreinte la scène musicale française, de Serge Gainsbourg aux Garçons Bouchers.

Dans ce roman graphique, Johann G. Louis redonne vie à cette artiste entière et passionnée qui brûla sa vie, se consumant dans l’amour, la fête, l’alcool et la « coco ».

Plongez avec elle dans le Paris canaille, entre scènes de music-hall et plateaux de cinéma, caf’conc’ et voyages au pays des paradis artificiels ! Et, comme Maurice Chevalier, Mistinguett et Jean Gabin, laissez-vous emporter par La Java bleue !

http://www.nada-editions.fr/

Dénoter!

Rencontre-Atelier : Pour une école qui dénote ! Le ven 15 sep à 18h. Entrée libre

Venez nombreux.ses à la cure de désintoxication de rentrée proposée par Charles Pépinster, instigateur du Groupe Belge d’Éducation Nouvelle (GBEN), pour réfléchir ensemble à la cohérence entre pratiques pédagogiques et modes d’évaluation.

Il s’agira d’une auberge espagnole pédagogique où chacun.e pourra partager une expérience, un témoignage, un document pour un apprentissage mutuel autour de la pédagogie du chef d’œuvre en opposition à celle de l’examen et de la notation, à l’heure où l’évaluation revient en force sur le devant de la scène scolaire.

Charles Pépinster a été instituteur puis inspecteur cantonal. Formateur en Belgique et à l’étranger, il est le fondateur de l’Institut Médico-Pédagogique du « Bois Marcelle » de Marcinelle et de l’école élémentaire publique « la maison des enfants » de Buzet. Il est aussi l’instigateur du Groupe Belge d’Education Nouvelle (GBEN).

Lien vers le reportage « Une école belge sans note où l’on apprend en s’amusant » sur l’école publique d’Education Nouvelle « La maison des enfants » de Buzet (vidéo à télécharger en fin de page sur le site du GBEN)
http://www.gben.be/spip.php?article240

Entrée libre dans la mesure des places disponibles

L’école du peuple

Présentation du livre « L’école du peuple ». Le Samedi 9 sep à 18h.

« L’école du peuple sera l’œuvre des éducateurs du peuple », Célestin Freinet.

Véronique Decker, directrice d’école à Bobigny, reprend la plume et livre 64 billets inspirés par son quotidien d’enseignante et de cadre de l’Éducation nationale engagée au service de ses élèves de la cité Karl-Marx.
Il y est question d’apprentissages lents, d’éveil au monde, de pédagogie Freinet, de fraternité, d’amour et d’empathie, mais aussi d’injustice et de casse de l’école, des quartiers populaires et des solidarités.
Celle qui entame ses dernières années d’exercice livre un regard rétrospectif tantôt sombre parfois cocasse, mais résolument combatif.

L’auteure

Véronique Decker vit et travaille à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Directrice impliquée, citoyenne engagée, formatrice, syndicaliste, elle propose ici un récit fort, après Trop classe ! en 2016.

Entrée libre dans la mesure des places disponibles.

« Bohemians …

… une histoire graphique des avant-gardes artistiques aux États-Unis ». Venez découvrir dès aujourd’hui en librairie.

Ce roman graphique fait revivre, à travers différents portraits et anecdotes, les grandes figures de la Bohème aux États-Unis, de Walt Whitman à Harvey Pekar et Robert Crumb en passant par Oscar Wilde, Alfred Stieglitz, Marcel Duchamp, Francis Picabia, Gertrude Stein, Joséphine Baker, Woody Guthrie, Billie Holiday, Charlie Parker, Dizzy Gillespie, etc.
Les récits réunis revisitent les idées utopiques et l’esprit de liberté que ce mouvement cosmopolite et radical a insufflés au monde des arts, de la littérature, de la musique, de la danse et rendent compte de l’effervescence des quartiers aujourd’hui mythiques de Greenwich Village, Harlem ou Brooklyn.
Illustré par les principaux représentants de la bande dessinée underground américaine (Peter Kuper, Spain Rodriguez, Sharon Rudahl, Jeffrey Lewis, etc.) et coordonné par Paul Buhle (« Une histoire populaire de l’empire américain ») et David Berger, Bohemians est le récit foisonnant et passionnant des élans rebelles qui ont traversé l’histoire culturelle des États-Unis aux XIXe et XXe siècles.

Trop classe!

Dans son livre « Trop classe ! Enseigner dans le 9-3 » (éditions Libertalia), Véronique Decker éclaire par petites touches le quotidien d’une école de « banlieue ». Mer 1 juin à 18h30

Dans son livre « Trop classe ! Enseigner dans le 9-3 » (éditions Libertalia), Véronique Decker éclaire par petites touches le quotidien d’une école de « banlieue ». Rencontre le Mer 1 juin à 18h30. Entrée libre

 

Au fil de ses billets, il est question de pédagogie, de luttes syndicales, de travail en équipe, mais surtout des élèves, des familles, des petits riens, des grandes solidarités qui font de la pédagogie un sport de combat…social.

Véronique Decker, originaire de Malzéville, est institutrice depuis plus de trente ans et, depuis, quinze ans, directrice d’une école élémentaire à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Cette école présente l’intérêt d’être une école « Freinet » où, dans le respect du service public, est pratiquée une pédagogie active, fondée sur la coopération.

Le nombre de places étant limité, merci de nous envoyer un mail pour vous inscrire: quartier.libre.diffusion@gmail.com
Un message de confirmation vous sera adressé à réception de votre demande de participation.
Pour les participants, ouverture du café solidaire de l’association dès 18h.

« Refuser de parvenir »

Vous avez été nombreuses et nombreux pour cette première rencontre et nous vous en remercions !

Pas une inauguration mais plutôt une invitation à causer, un 1er événement vient d’avoir lieu dans notre local associatif:
une rencontre-échange avec l’auteur Grégory Chambat, enseignant auprès d’élèves allophones, sur le thème de l’éducation et de l’émancipation à travers l’éclairage du livre « Refuser de parvenir » récemment paru (coédition Nada/CIRA).