C’est reparti pour un tour !
Quartier libre a rouvert ses portes. Depuis le 11 septembre, le livre est dans la place au 11, grande rue avec de nouveaux livres à découvrir … pour les petits et les grands !
librairie et bibliothèque associative
Quartier libre a rouvert ses portes. Depuis le 11 septembre, le livre est dans la place au 11, grande rue avec de nouveaux livres à découvrir … pour les petits et les grands !
Permanences de bibliothèque féministe Nanara à partir de 17h
Les permanences de la bibliothèque féministe reprennent ce lundi. Nous avons reçu des nouveaux livres et des revues.
Pendant le confinement, les permanences ont continué à distance. Pour la prochaine permanence amenez vos masques. A nous, des participantes à prendre les précautions pour ne pas prendre des risques de contamination.
Les permanences sont en mixité choisie, sans hommes cis.
Quartier libre a fermé ses portes pour une pause estivale avant une réouverture en septembre avec des nouveautés en rayon !
Quartier libre a fermé ses portes pour une pause estivale avant une réouverture en septembre avec des nouveautés en rayon !
Pendant cette période d’été, des ouvertures aléatoires auront lieu malgré tout alors, si vous voyez de la lumière, n’hésitez pas à passer la porte !
Bel été et à bientôt
Quartier Libre reprend son rythme de croisière et ré-ouvre ses portes les jeudis (18h-20h), vendredis (18h-20h) et samedis (15h-19h) jusqu’à fin juin.
Bonjour à toutes et tous,
Quartier Libre reprend son rythme de croisière et ré-ouvre ses portes les jeudis (18h-20h), vendredis (18h-20h) et samedis (15h-19h) jusqu’à fin juin.
Nous suspendons pour le moment le principe de commande à distance, bien que la méthode ait pu vous satisfaire pendant les dernières semaines. Nous pensons reproposer ce principe, si besoin, pendant des périodes particulières.
Toute l’équipe de Quartier Libre sera ravie de vous revoir dans la librairie, avant une petite coupure estivale,
alors à bientôt !
Quartier Libre rouvre ses portes pour permettre d’accéder à nouveau à nos rayonnages !
Bonjour à toutes et tous,
Quartier Libre rouvre ses portes pour permettre d’accéder à nouveau à nos rayonnages !
Pour le moment, cette ouverture aura lieu les samedis de 15h à 19h.
Pour permettre à toutes et tous d’y flâner sereinement, nous mettons en place un protocole particulier d’accès au local.
Ainsi, nous privilégierons l’accueil du public avec un maximum de deux personnes présentes au même moment dans la librairie. Pour garantir les conditions sanitaires, du gel sera disponible à l’entrée ainsi que l’accès au lavabo.
Les paiements en espèces seront possibles en respectant les gestes barrières et nous continuerons à accepter les chèques. Nous vous rappelons que nous n’avons pas de terminal bancaire pour les paiements par CB.
Par ailleurs, les commandes sont toujours possibles sur l’adresse commande.quartierlibre@protonmail.com si vous souhaitez commander à distance, et le jeudi « au comptoir » restera pour l’instant réservé pour les retraits des commandes en ligne.
La bibliothèque reste indisponible pour le moment, de même que l’espace « café ».
Nous avons hâte de vous retrouver,
à bientôt.
L’équipe de la Librairie-Bibliothèque Quartier libre
Ratcharge. Entre un néant et un autre. Les éditions des mondes à faire.
Pour continuer les dynamiques en cours à la librairie, et vous partager notre envie à plonger dans les bouquins et à vous les partager, nous avons commencé la lecture, parfois individuelle, parfois collective, de certains des livres de nos rayons.
Le rythme sera régulier, on l’espère, et les thématiques abordées varieront au grès des lectures.
Voici la première :
Ratcharge. Entre un néant et un autre (Les éditions des mondes à faire)
Bonne écoute !
https://audioblog.arteradio.com/bl…/145266/lecture-de-textes
Rencontre avec Giz pour la présentation du roman « Lettres d’insurgé.e.s » de Fredy Perlman, le vendredi 20 mars à 19h à la bibliothèque-librairie Quartier libre (11 Grande rue à Nancy).
Ce roman est fait d’allers-retours de lettres entre deux personnes qui ont autrefois participé ensemble à un soulèvement et une occupation d’usine. Séparé.e.s par la répression et des frontières pendant 20 ans, leur conversation reprend par une critique sévère de leurs choix de vies réciproques, ainsi que de leurs interprétations divergentes de l’événement qu’ils ont partagé. S’ensuit une longue discussion sur l’implication individuelle dans des mouvements collectifs, la désillusion dans le fait « politique » et la récupération, mais aussi sur les écueils de la création d’alternatives. Sans mention de date ni de lieu, et publié pour la première fois en 1976 à Détroit aux États-Unis, le livre s’adresse à des personnes ayant perdu des illusions sur la possibilité d’un changement immédiat, sans pour autant pouvoir se résigner au conformisme ni s’empêcher de le désirer encore, avec une certaine ambivalence sur la question de l’espoir, qu’il soit passif ou non. De nature composite, le roman a été fortement inspiré de « personnages » véritables et de « faits historiques » correspondant pêle-mêle à la libération du nazisme et l’invasion par l’URSS de l’Europe de l’Est, les « coup » et « printemps » de Prague, l’insurrection hongroise de 1956, la déstalinisation, le MacCarthysme et les émeutes de 1967 à Détroit.
C’est le premier volume de la traduction française des lettres attribuées aux personnages de Sophia Nachalo & Yarostan Vochek, auto-publié à travers Bus Stop Press (Marseille).
Ces 456 pages regroupent les dix premières lettres du roman épistolaire qui en contient 20 au total.
Fredy Perlman est un écrivain, éditeur, militant né en 1934 à Brno en Tchécoslovaquie et mort en 1985 à Détroit aux États-Unis et auteur des plusieurs textes comme L’appel constant du nationalisme et La reproduction de la vie quotidienne, à retrouver sur infokiosques.net.
Entrée libre, une participation est la bienvenue pour contribuer à l’organisation de la rencontre.
Discussion autour de la révolution russe de 1917: formes de mobilisation et d’action
Dans le cadre des mouvements sociaux qui animent la France et d’autres pays, une histoire s’écrit et la transmission des luttes antérieures s’y inscrit. Il n’est pas rare d’entendre des références et le vocabulaire issus de l’embrasement historique que fut la période révolutionnaire ouverte en février 1917 en Russie.
(Une révolution en cachant toujours une autre : fêtons aussi le début de la Commune de Paris qui fut largement célébrée pendant la révolution russe).
Rencontre-discussion avec Floréal Romero autour des livres « Murray Bookchin & L’écologie sociale libertaire » et « Agir ici et maintenant ».
« Nous nous attaquerons directement aux racines sociales de la crise écologique! »
Militant et essayiste libertaire, ouvrier syndiqué devenu historien des révolutions, Murray Bookchin (1921-2006) est l’un des premiers penseurs à intégrer la dimension sociale et politique à la question écologique. Pour lui, les rapports de domination engendrés par le capitalisme sont à l’origine de la crise environnementale.
La force de sa pensée réside dans la proposition du municipalisme libertaire, alternative démocratique à l’État-nation, qui appelle à un retour à la gestion humaine des affaires publiques et à la prise de décision collective.
Discussion sur l’Informatisation du Monde avec David Gaborieau et Nicolas Eyguesier. Entrée libre.
Rencontre-discussion sur les conséquences de l’informatisation du monde avec David Gaborieau, auteur de l’article « le logiciel qui murmure à l’oreille des prolos » et Nicolas Eyguesier des éditions La lenteur, autour des livres « La liberté dans le comas » (Groupe MARCUSE) et « Le monde en pièces, pour une critique de la gestion : informatiser ».
Ce livre s’interroge sur les conséquences de l’informatisation du monde et de la traçabilité systématique de nos faits et gestes? Il nous aide à réfléchir aux moyens de s’opposer au fichage généralisé. La Liberté dans le coma est le deuxième ouvrage du groupe Marcuse (Mouvement autonome de réflexion critique à l’usage des survivants de l’économie),
« Le monde en pièces, pour une critique de la gestion : informatiser ».
Par une collection de textes basés sur des cas précis d’informatisation (l’apiculture, la vocation d’informaticien, la commande vocale dans les entrepôts de la grande distribution), cet ouvrage montre que la numérisation détruit ce qui peut être encore sauvé dans les différents métiers, intensifie le travail, isole les individu et robotise les rapports sociaux.
Loin d’être un processus neutre, ou une solution aux problèmes sociaux de notre époque, l’informatique répond à des intérêts bien précis. Cela peut et doit être stoppé : c’est ce que nous enseigne notamment l’opposition aux compteurs Linky.
Atelier d’Arpentage du livre « Critiques de l’école numérique »
Ca y est ! Les ateliers du Mercredi repartent de plus belle, pour en finir avec le froid et la pluie, viens te réchauffer à la librairie. Pour cette première, et dans le cadre de notre mois consacré au Numérique et à son impact sur nos vies, il s’agira d’un Atelier d’Arpentage à partir du livre « Critiques de l’école numérique » paru aux éditions l’Echappée dont les réflexions pourront étayer la discussion autour de ce livre, en présence de deux personnes y ayant contribué, le soir du Vendredi 28 Février.
C’est quoi l’arpentage?
Comment lire des textes qui semblent à première vue compliqués, voir même inaccessibles pour des non-initiés ? Comment y découvrir des contenus pertinents en ne les coupant pas de leur contexte,
mettre au jour les idées exprimées, en tenter des analyses critiques, en discuter et en tirer des ressources…C’est le défi de l’arpentage : en s’attaquant collectivement aux ouvrages les plus difficiles et en les
enrichissant avec notre propre expérience. Ainsi ensemble, il est possible de co-construire un savoir utile pour comprendre les situations que nous vivons, l’évolution de nos métiers …
L’arpentage est donc une technique d’analyse collective d’un ouvrage, de texte, de bouquins…
D’où ça vient ?
Méthode de lecture collective issue de la culture ouvrière (cercle ouvrier) dès la fin du 19ème siècle puis réutilisée par les praticiens de l’entrainement mental pendant la seconde guerre mondiale par des
résistants (autour de Dumazedier), diffusée plus largement par Peuple et Culture, mouvement d’éducation populaire, à partir des années 1950.
source : miramap.org/IMG/pdf/l_arpentage.pdf
Lecture-spectacle. Interprétation du texte « La Supplication » de Svetlana Alexievitch. Entrée Libre.
Svetlana Alexievitch est prix Nobel de littérature 2015 . Elle fait entendre ici la parole des survivants de Tchernobyl . Ce sont ces voix qui seront lues par un lecteur et un trompettiste, Yves Thouvenel et François Drapier. Il ne s’agit pas de calculs concernant les coûts de l’énergie nucléaire mais des conséquences intimes et quotidiennes de cette catastrophe écologique majeure dans les corps et les âmes des habitants de cette région .
Entrée libre, une participation est la bienvenue pour contribuer à l’organisation de la soirée
Les livres de Quartier Libre sont vivants et bouillonnent d’idées !
Rencontre avec La Parisienne Libérée à l’Ancienne école de la MJC 3 Maisons.
Présentation du livre « Le nucléaire c’est fini » paru aux Éditions La Fabrique.
Alors que les géants du secteur font faillite les uns après les autres, l’industrie nucléaire est désormais directement menacée par d’innombrables tempêtes, inondations, sécheresses et canicules, toujours plus brutales. Manifestement, le climat a choisi son camp : il est antinucléaire. Mais pouvons-nous compter sur la dégradation des conditions financières et climatiques pour mettre fin à une production qui reste étroitement liée à des enjeux politiques et militaires ?
Toute l’industrie atomique s’est édifiée sur les solides fondations d’un silence nucléaire qui a recouvert jusqu’à la mémoire des oppositions –comme en témoigne l’histoire, largement méconnue en France, de la lutte basque contre la centrale de Lemoiz.
Mêlant enquête et récits, ce livre déroule le fil de notre condition nucléaire et appelle à un déconfinement radical. Plus qu’un diagnostic, c’est le signal d’une rupture: le nucléaire, c’est fini !
Entrée libre, une participation est la bienvenue pour assurer le bon déroulement de la soirée.
Discussion – rencontre autour du livre « Théorie générale de la révolution »
de Bakounine. En présence du traducteur Etienne Lesourd. Entrée libre.
Révolutionnaire obstiné, conspirateur d’instinct, orateur infatigable, Michel Bakounine avait souvent mieux à faire que de composer des traités. D’où, parfois, le caractère décousu de ses textes, écrits à la diable – ce qu’on pardonnera à un athée tel que lui. Pourtant, ils ne méritent pas l’oubli dans lequel ils sont tombés.
Pour réhabiliter son œuvre écrite, Etienne Lesourd, s’inspirant de la compilation qu’avait faite l’anarchiste russe G. P. Maximov en anglais dans les années 1950, a restitué les textes dans leur français originel – puisque, on ne le sait pas toujours, « le géant moscovite » écrivait le plus souvent dans cette langue.
Discussion – rencontre autour de la revue « Jef Klak ». Entrée libre.
Quand tu manges une glace sur la rambla de Barcelone et que tu vois un graffiti « Tourists go home ».
Quand, évangélisateur en herbe à peine débarqué sur une île, tu te fais cribler de flèches.
On met pied à terre et le voyage prend fin. Le contact avec ce territoire, à découvrir ou à spolier, signe le début d’autre chose : une conquête, une prise de repères, un nouveau départ ou un massacre. Jamais tout à fait immobile, ni parvenu·e, on est toujours, et pour longtemps encore, en train d’arriver. Avec une question en tête : dans quoi ai-je mis les pieds ?
Quand tu déclares la grève illimitée de la popote au beau milieu d’une autre lutte vitale.
Quand ton collectif envisage, pour le prochain numéro de sa revue, de ne pas faire de numéro du tout.
On arrête tout et on réfléchit. Parce qu’on ne sait plus vraiment ce qu’on fait, qu’on aimerait pouvoir s’extraire un temps, se retourner et observer. Mais c’est un leurre, rien ne s’arrête jamais. On fait pause, et c’est déjà la suite qui se prépare. Alors, si ce répit n’en est pas un, comment connaître, transmettre et transformer un fonctionnement collectif ?
Quand tu trouves refuge, chez un⋅e ami⋅e ou un⋅e inconnu⋅e.
Quand tu as le sentiment de renaître chaque fois que tu reviens dans les Cévennes.
Le pied-à-terre, c’est le chez-soi qui peut être précaire, le quotidien sous le régime de l’intermittence. Un point fixe dans la tourmente, un repaire pour reprendre des forces, une retraite pour mieux repartir, un lieu où l’on sait que l’on pourrait revenir. Comment se l’approprier, quand on ne peut que périodiquement l’habiter ?
Discussion – rencontre autour du livre « La conjuration des égo – Féminisme et individualisme »
En présence de l’autrice Aude Vidal. Entrée libre.
Comment accueillir ces questions qui renouvellent le féminisme, souvent de manière stimulante ou salutaire, sans rien céder sur la défense des femmes et de leur intégrité ?
Cette année, l’équipe rempile avec les mêmes horaires que l’année dernière:
jeudis – vendredis entre 18h et 20h
samedis de 15h à 19h
Ces horaires sont a minima, pour permettre des permanences régulières.
En fonction des disponibilités des un.e.s et des autres, il est possible que la librairie soit ouverte un peu avant 18h et certains autres jours.
N’hésitez pas à passer !
Par ailleurs, pour faciliter l’envoi de notre programmation, nous expérimentons un nouveau système de newsletter qui vous permet de gérer votre abonnement à la liste en permettant le désabonnement à tout moment.
A bientôt !
L’ouverture pendant l’été sera irrégulière. Si toutefois en passant dans la rue vous constatez que les volets sont ouverts, n’hésitez pas à entrer.
Discussion – rencontre autour du livre en présence d’un membre du collectif COMM’UN
Discussion – rencontre autour du livre « Habiter en lutte, ZAD Notre-Dame-Des-Landes, 40 ans de résistance » En présence d’un membre du collectif COMM’UN
La zad de Notre-Dame-des-Landes est devenue le plus grand squat à ciel ouvert d’Europe. Utopie réalisée pour certain·es, espace de rencontres et critique en acte du capitalisme, elle n’a pas fini de soulever les passions.Réunissant de nombreux récits, photographies, croquis et cartes inédites, ce livre raconte l’évolution d’un territoire où ce geste simple, habiter, est inséparable de celui de lutter.
Entrée libre