Film documentaire

Projection du documentaire « Les Coups de leurs Privilèges » + débat collectif en présence de la réalisatrice, Sabrina Thawra et de Farid El Yamni, frère de Wissam El Yamni. Ven 19 oct à 19h

 

Projection du documentaire « Les Coups de leurs Privilèges » + débat collectif en présence de la réalisatrice, Sabrina Thawra et de Farid El Yamni, frère de Wissam El Yamni. Ven 19 oct à 19h. Entrée libre

 

« Wissam El-Yamni est décédé suite à une interpellation le 1er janvier 2012 à Clermont-Ferrand, Morad Touat est décédé le 5 avril 2014 à Marseille suite a une interpellation le 1er avril 2014.

Ces familles s’organisent avec dignité et courage pour faire la vérité sur les décès de leurs proches. Elles ne sont pas les seules dans ce cas. Chaque année en France, entre 10 et 15 personnes non-armées meurent pendant ou suite à une interpellation par les forces de l’ordre.

Les différents groupes organisés historiquement autour de la lutte contre les crimes et les violences policières démontrent la continuité de cette situation depuis les années 60 jusqu’à aujourd’hui. »

https://lescoupsdeleursprivileges.com

Film documentaire, 56 min.

Pédagogie sociale

Week end autour de la pédagogie sociale. Rencontre avec Laurent Ott et conférence gesticulée de Mélody Dababi. Atelier discussion en présence des intervenants : « La pédagogie sociale: quel ancrage local?  » we 29 et 30 sept.

Week end autour de la pédagogie sociale les 29 et 30 septembre à Quartier Libre.
Le 29:
16h – Rencontre avec Laurent Ott – Entrée libre (voir événement en lien)
18h30 – Petite restauration Végane par « Las Vegan » – Prix libre
20h – Conférence gesticulée de Mélody Dababi – prix libre (voir événement en lien)

Le 30:
15h/18h – La pédagogie sociale: quel ancrage local?
Atelier discussion en présence des intervenants de la veille. Sur inscription: quartier.libre@protonmail.com

FREAKS

Une interview parue dans le zine Freaks#3

Alors qu’en ce moment se déroule « Le livre dans la face », attardons-nous sur l’un des lieux qui accueille une partie de la programmation avec une interview de ses membres.
1 – Salut, est-ce que vous pouvez nous faire une petite présentation du lieu et de ce qui s’y passe ?
Quartier libre est un lieu indépendant qui est à la fois une librairie militante, une bibliothèque et un café associatif. Il a ouvert ses portes … lire la suite sur Manif’Est

Longwy

Projection du documentaire « Longwy » en présence du réalisateur Steve Bingham. mer 13 juin à 19h Entrée Libre.

Réalisé en 1978, “Longwy prend forme au cours de la lutte […] et met l’accent sur les contradictions: divisions syndicales, rôle des partis politiques, coordination des ouvriers à l’échelle nationale et internationale, place des femmes dans la lutte, spécificité de la lutte des travailleurs immigrés.

Steve Bingham, militant pour la cause des populations afroaméricaines contre la ségrégation, tisse à la fin des années 1960, alors que la gauche radicale est sous la pression du président Nixon, un lien avec les Black Panthers. Avocat spécialiste dans l’aide judiciaire aux personnes démunies, il est poursuivi par les autorités et, craignant pour sa vie, décide de s’enfuir et d’entrer en clandestinité. Via une filière de faux papiers pour les déserteurs de la guerre du Vietnam, il change d’identité et devient Robert Boarts. Traversant l’Atlantique, Steve Bingham/Robert Boarts s’inscrit dans l’école de cinéma de l’Université Paris-VIII et participe à la réalisation de plusieurs documentaires engagés, et notamment de défense de la paysannerie. Il s’oriente ensuite vers d’autres sujets sociaux, dont Longwy, projeté quelque fois en 1984, dont une à Longwy. Plutôt que de se lancer dans une diffusion plus large, il prend la décision de retourner aux Etats-Unis pour prouver son innocence et reprendre sa vie d’avocat engagé. Il range alors son travail documentaire dans un tiroir. Il ne le sortira presque plus durant près de 40 ans, jusqu’à aujourd’hui.

127 jours…

Rencontre-échange autour du livre « 127 jours en mars ». Sam 23 juin à 19h

En présence des auteurs Nathalie Astolfi et Alain Dervin
Entrée Libre

Cet abécédaire nous invite à une relecture subjective et combative du mouvement contre la « loi Travail », celle de deux syndicalistes libertaires happés par la jeunesse et la créativité d’une dynamique contestataire qui a revigoré la lutte collective. […] ils donnent à comprendre qu’en se réappropriant ainsi le pouvoir de penser et d’agir collectivement, une telle lutte n’a pas fini de couver ses braises.

Nucléaire

Rencontre-échange sur le livre « Le monde comme projet Manhattan » Des laboratoires du nucléaire à la guerre généralisée au vivant » en présence de l’auteur Jean-Marc Royer. ven 18 mai à 18h30. Entrée Libre

Retraçant en un récit glaçant et solidement documenté l’histoire secrète de ce projet, Jean-Marc Royer montre comment la recherche d’une « solution totale » y prit vite le pas dans les esprits sur toute considération humaine. En cela, le nucléaire constitue une transgression majeure des interdits sociaux fondamentaux sous l’égide d’un puissant imaginaire structuré par la « rationalité calculatrice ».

La thèse de ce livre est que Auschwitz et Hiroshima sont les « points de bascule » d’une histoire inaugurée un siècle plus tôt dans l’alliance entre mode de connaissance scientifique, capitalisme industriel et États-nations, qui a débouché sur les premières lois eugénistes et les massacres de la « Grande Guerre ». Ces « secrets de famille » de l’Occident sont l’origine refoulée de la guerre généralisée au vivant que mène aujourd’hui la civilisation capitaliste, avec le consentement de foules subjuguées par cette mort érotisée depuis 1945.
L’auteur en appelle alors à l’élaboration d’une théorie critique radicale et à l’historicisation de ces points de bascule pour que, levant le voile du refoulement, nous puissions faire face à ce qui menace désormais toute vie sur Terre.

Adaptatsia

Un plongeon dans la scène musicale et poétique undergound soviétique et post-soviétique. Concert acoustique et rencontre avec Ermen Anti et Vadim Kurilev. dim 22 avr à 17h30

Un plongeon dans la scène musicale et poétique undergound soviétique et post-soviétique.

Concert acoustique et rencontre avec Ermen Anti (auteur, compositeur et chanteur du groupe de punk-rock du Kazakhstan, Adaptatsia) et Vadim Kurilev (auteur, compositeur et chanteur du groupe Elektropartizany et ancien membre de DDT)

L’histoire du groupe Adaptatsia commence en 1992 à Aktûbinsk, ville industrielle du nord-ouest du Kazakhstan. Juste après la chute de l’URSS, une nouvelle vague de groupe de punk est apparue, qui avait été influencée par les groupes contestataires clandestins des années quatre-vingt. La culture underground soviétique a développé une langue particulière pour éviter la censure ou la répression, tout en exprimant son refus d’une société sans liberté. La poésie fut l’arme de la contestation. Inscrit dans cette tradition, Ermen Anti peint un tableau critique et engagé des sociétés post-soviétiques dans ses chansons écrites majoritairement en russe. Du fait de nombreux conflits avec les autorités locales qui leur ont interdit les salles de la ville, le groupe s’est produit à partir de 1993 dans des appartements. Les membres du groupe ont ensuite organisé plusieurs festivals punk-rock dans leur ville et depuis 2001 a lieu chaque année le festival « Sukhoveï », qui réunit des groupes de Russie et du Kazakhstan.
Vadim Kurilev fut au cœur du mouvement rock illégal en URSS dans les années 1980. Il rejoignit à Leningrad en 1986 le groupe DDT, qui fut un des plus influents de la vague des années soviétiques, puis fonda son propre groupe en 2002, Elektropartizany.

Freire

Présentation du livre Paulo Freire pédagogue des opprimé.e.s. Rencontre avec l’auteure Irène Pereira. ven 20 avr à 18h
Entrée Libre.

Une introduction aux pédagogies critiques.

Depuis une trentaine d’années, dans le sillage de l’œuvre du « pédagogue des opprimé-e-s » Paulo Freire, tout un courant a émergé au niveau international, pour redonner à la pédagogie une dimension critique et politique. Dans leur diversité et leurs multiples champs d’intervention (questions de genre, enjeux décoloniaux, écologie, inégalités sociales, discriminations, etc.), ces démarches questionnent avant tout nos pratiques éducatives et notre capacité à redonner, à travers elles, une puissance d’agir sur le monde.
Cet ouvrage se propose de présenter la pensée de Paulo Freire et les courants de la pédagogie critique qui en sont issus. Largement méconnu dans l’espace francophone, l’héritage du pédagogue brésilien est pourtant une réponse possible à la dépolitisation de la pédagogie en France

La monnaie

Présentation du livre La monnaie d’Alfred Sohn-Rethel.
En présence de la traductrice. Ven 13 avr à 18h30. Entrée Libre

« […]La monnaie, cette « forme-valeur devenue visible », élément clé de la synthèse sociale, nous engage à reconsidérer la genèse de notre modernité dans une perspective pratique : ni le capitalisme, ni les technosciences qui leur correspondent, ne doivent être le destin inéluctable de l’humanité. Travail d’importance en des temps où la logique de l’abstraction détruit jusqu’à la possibilité de la vie terrestre.»

317

Projection d’un documentaire du Collectif 317 sur la répression politique et les 317 GAV en 2015 lors de la COP21. Mer 28 mars à 20h.
En présence d’un membre du collectif.

317, documentaire intégral, 1h par le collectif 317. Avec : Vanessa Codaccioni, Didier Fassin, Samir Baaloudj, Claude Guillon… Le 29 novembre 2015, place de la République, le gouvernement procède à 317 gardes à vue. Le collectif 317 revient sur les GAV et la COP21.

https://les317.wordpress.com/

Goldman

Discussion-rencontre avec Etienne Lesourd à propos d’Emma Goldman et Mikhaïl Bakounine autour des livres « L’agonie de la révolution » et « Dans les griffes de l’ours ». Le mardi 23 mars à 18h30.

L’AGONIE DE LA RÉVOLUTION Emma Goldman
Mes deux années en Russie (1920-21)

Expulsée des Etats-Unis fin 1919, la militante anarchiste débarque en Russie révolutionnée, où elle espère prendre sa part dans la construction d’une société nouvelle. Petit à petit, son enthousiasme va céder la place au scepticisme, puis à la désillusion devant les signes de corruption du nouveau régime qu’elle découvre tout au long de ses voyages dans le pays et de ses rencontres avec les militants et dirigeants du parti au pouvoir, les anarchistes persécutés et de nombreux anonymes. Certes, Goldman fait la part des destructions, des souffrances et des famines provoquées par les interventions armées des Etats capitalistes et de la résistance acharnée des armées Blanches, mais les conceptions « autoritaires » des bolchéviques ont aussi leur part de responsabilités dans cette involution, pense-t-elle, dont on sait depuis qu’elle préfigurait le totalitarisme stalinien. « On ne soulignera jamais assez que la révolution ne sert à rien si elle n’est pas inspirée par son idéal ultime. Les méthodes doivent être en harmonie avec les objectifs révolutionnaires. Les moyens mis en œuvre pour réaliser la révolution doivent correspondre à ses buts », écrit-elle en conclusion de son récit.

« Dans les griffes de l’Ours ». Michel Bakounine
Lettres de prisons et de déportation, présentées et annotées par Etienne Lesourd

Pratiquement, aucun révolutionnaire de son temps – à commencer par les socialistes russes de toutes tendances – n’a évité la prison, mais peu l’ont connue si longtemps, et surtout dans des conditions aussi difficiles. Bakounine a très sérieusement envisagé le suicide, mais il a toujours gardé, au fond de lui, une lueur d’espoir, c’est évident. Seuls ceux qui ont connu de telles épreuves peuvent lui faire des reproches quant à sa Confession ou à la supplique de 1857. On l’a accusé, ainsi, d’avoir en quelque sorte collaboré avec le pouvoir du tsar, mais qu’avait-il à perdre en demandant une commutation de peine ? Il s’en est expliqué dans une lettre à ses amis Herzen et Ogarev : « Devant un jury, au cours d’un procès public, j’aurais le devoir de tenir mon rôle jusqu’au bout. Mais entre quatre murs, à la merci de l’ours, je pouvais sans scrupule adoucir les formes 33. »

Il est temps de découvrir à travers cette correspondance la puissante figure romantique du prisonnier et déporté Michel Bakounine, qui allait devenir, à partir du milieu des années 1860, le grand penseur libertaire et l’admirateur critique de Marx, son adversaire dans l’Internationale, l’inspirateur, aussi, des anarchistes espagnols qui conduisirent une des plus importantes révolutions du XXe siècle.

Young lords

Présentation du livre Young lords (éd.L’échappée) et rencontre avec l’auteure Claire Richard. Le jeu 1 mars à 19h.

L’histoire trépidante des Young lords (Black Panthers latinos) est un moment essentiel de l’imaginaire politique des latinos aux Etats-Unis, et un pan méconnu des luttes des années 1960.

Entrée libre

REVU #3

Lecture-spectacle poétique avec le collectif le MOT MENT et la revue de poésie REVU. Le samedi 24 fev à 18h30.

Le collectif le MOT MENT et la revue de poésie REVU proposent une lecture de textes publiés dans REVU, ainsi que de poètes contemporains.
revularevue.wixsite.com/revu.

Conf manipulée

Conférence « manipulée » avec « La langue de travers ». Le vendredi 26 jan à 18h30.

Expérience poétique pour faire parler, questionner, explorer la question…parcourir….construire collectivement une réponse à laquelle chacun.e prend part.

Pancho Villa

Présentation du livre « Pancho Villa – La bataille de Zacatecas ». En présence de l’éditeur et du traducteur + exposition des illustrations du livre (Eko). Mer 6 dec à 18h30.

« Juin 1914. Deuxième phase de la Révolution mexicaine. La Division du Nord de Pancho Villa fait tomber Zacatecas, la dernière place forte de l’usurpateur Huerta. Une bataille épique, cinq mille morts dans l’armée fédérale, autant de prisonniers. La route vers Mexico est ouverte. Et la Révolution en marche.

Sur un scénario de Paco Ignacio Taibo II illustré avec un réalisme saisissant par les gravures d’Eko, ce roman graphique fait la chronique à la fois drôle et tragique de ce fait d’armes qui a nourri la légende de Pancho Villa, l’un des plus célèbres héros du Mexique contemporain. » (Ed. Nada)

Bure

Présentation du livre « Bure, la bataille du nucléaire ». En présence des auteurs. Le ven 24 nov à 18h30.

 » Un sarcophage gigantesque censé tenir des dizaines de milliers d’années ! C’est au nom de ce projet fou, qui serait le plus grand chantier d’Europe, que Bure, entre Meuse et Haute-Marne, se transforme en zone grillagée et quadrillée de gendarmes. Pour l’industrie nucléaire, ce territoire relégué serait l’exutoire ultime des déchets radioactifs qui s’accumulent et dont elle ne sait que faire.

Sur place, les habitants sont de plus en plus nombreux à s’insurger contre la transformation de leur région en « poubelle atomique». Depuis deux ans, des dizaines de personnes s’installent sur place, occupent une forêt, bloquent les travaux. La nouvelle bataille du nucléaire est lancée, pour empêcher de croire que cette industrie peut continuer sans risque, réinventer des manières de vivre et lutter, imaginer d’autres possibles pour ce pays. […]  » (Ed.Seuil -Reporterre)

K-ta

La Compagnie Kta prendra ses quartiers à Quartier libre le temps d’un spectacle familial à partir de 7 ans, intitulé: Quand Souffle le Vent du Nord. Récits de Vies Imaginaires et Musique d’Enfer. Dim 8 oct à 15h

Quelques mots pour susciter l’envie….

Recherché-e-s par les autorités de Kta, le 7éme continent, pour haute trahison, sorcellerie et piraterie, Fried et Vivi ont trouvé refuge dans l’imaginaire.
Quand souffle le vent du Nord, ils se laissent emporter et là où le vent les mène, ils s’arrêtent pour raconter, selon l’humeur du temps, les histoires qu’ils découvrent et qui leur donnent envie d’un jour quitter leurs rêves pour les réaliser….

Venez nombreuses et nombreux pour partager ce voyage !

Entrée libre dans la mesure des places disponibles avec participation au chapeau en soutien aux artistes et au lieu.

Dénoter!

Rencontre-Atelier : Pour une école qui dénote ! Le ven 15 sep à 18h. Entrée libre

Venez nombreux.ses à la cure de désintoxication de rentrée proposée par Charles Pépinster, instigateur du Groupe Belge d’Éducation Nouvelle (GBEN), pour réfléchir ensemble à la cohérence entre pratiques pédagogiques et modes d’évaluation.

Il s’agira d’une auberge espagnole pédagogique où chacun.e pourra partager une expérience, un témoignage, un document pour un apprentissage mutuel autour de la pédagogie du chef d’œuvre en opposition à celle de l’examen et de la notation, à l’heure où l’évaluation revient en force sur le devant de la scène scolaire.

Charles Pépinster a été instituteur puis inspecteur cantonal. Formateur en Belgique et à l’étranger, il est le fondateur de l’Institut Médico-Pédagogique du « Bois Marcelle » de Marcinelle et de l’école élémentaire publique « la maison des enfants » de Buzet. Il est aussi l’instigateur du Groupe Belge d’Education Nouvelle (GBEN).

Lien vers le reportage « Une école belge sans note où l’on apprend en s’amusant » sur l’école publique d’Education Nouvelle « La maison des enfants » de Buzet (vidéo à télécharger en fin de page sur le site du GBEN)
http://www.gben.be/spip.php?article240

Entrée libre dans la mesure des places disponibles

L’école du peuple

Présentation du livre « L’école du peuple ». Le Samedi 9 sep à 18h.

« L’école du peuple sera l’œuvre des éducateurs du peuple », Célestin Freinet.

Véronique Decker, directrice d’école à Bobigny, reprend la plume et livre 64 billets inspirés par son quotidien d’enseignante et de cadre de l’Éducation nationale engagée au service de ses élèves de la cité Karl-Marx.
Il y est question d’apprentissages lents, d’éveil au monde, de pédagogie Freinet, de fraternité, d’amour et d’empathie, mais aussi d’injustice et de casse de l’école, des quartiers populaires et des solidarités.
Celle qui entame ses dernières années d’exercice livre un regard rétrospectif tantôt sombre parfois cocasse, mais résolument combatif.

L’auteure

Véronique Decker vit et travaille à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Directrice impliquée, citoyenne engagée, formatrice, syndicaliste, elle propose ici un récit fort, après Trop classe ! en 2016.

Entrée libre dans la mesure des places disponibles.